L'Institut américain de géophysique s'est voulu immédiatement rassurant en expliquant qu'une large partie de la population de la zone touchée résidait "dans des structures qui résistent aux secousses sismiques".
« Il ne restait que des cendres » : la veuve de Firas Abou Latif, un chercheur franco-syrien tué à Soueïda, témoigne
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