Coupes budgétaires : le centre Primo-Levi amputé d'un quart de son budget

Le centre, qui accueille depuis 1995 à Paris les victimes de tortures et de violences politiques, ne va plus recevoir de subventions du ministère de l'Intérieur et de fonds européens. Il va devoir se séparer d'un tiers de ses salariés en janvier.

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