Au procès des soupçons de financement libyen de la campagne de Nicolas Sarkozy, Alexandre Djouhri euphémise l'exfiltration "tranquillou" de Béchir Saleh
La journée de lundi a été consacrée à l'argentier du régime libyen, jugé en son absence. Pour l'accusation, il ne s'agissait pas d'aider un "ami" de la France mais d'exfiltrer le détenteur de secrets compromettants.
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