En 2003, Antoine Belmonte, 53 ans, avait été tué d'une balle dans la tête alors qu'il regardait par l'œilleton de sa porte. Très vite, les enquêteurs avaient envisagé que son meurtrier ait confondu l'homme avec un policier porteur du même nom
Brésil: Bolsonaro menacé d'emprisonnement pour des déclarations diffusées sur les réseaux sociaux
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