A son procès, Joël Le Scouarnec reconnaît certains viols qu'il niait et un cas de soumission chimique : "J'étais dans la transgression permanente, je ne m'interdisais rien"

L'accusé, jugé pour des viols et agressions sexuelles commis pendant des décennies sur près de 300 patients, la plupart mineurs, a longuement été interrogé, mardi, sur les faits consignés dans ses journaux intimes.

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